« Josy » La Reine De La Nuit. Épisode 1 : La Naissance DUne Petite Salope.
Étant donné la perte des 3/4 de mes lecteurs sur le récit « Aurélien », la suite de celui-ci sera diffusée les mercredis. En attendant bonne lecture avec cette nouvelle histoire superbe.
Je mappelle Josiane B, je pense que je suis née pour devenir une vraie petite salope. Je men étais rendu compte à mon adolescence car dès ma puberté, je fus très attirée par le sexe. Les chiens ne font pas des chats me direz-vous, ma mère avant moi avait vite tenté lexpérience avec les garçons et lessayer, cest ladopter. Ce fut la raison pour laquelle, en juin 1949, alors que Colette navait pas encore dix-neuf ans, elle tomba enceinte. Malgré quelle ait couché avec plusieurs hommes mariés, elle se doutait qui était le père, cependant afin de ne pas lui faire du tort, elle navait jamais dévoilé son nom.
En effet, depuis plusieurs années, elle avait rencontré un jeune garçon de son âge, lorsquelle venait en vacances chez ses grands-parents. Ils étaient très amoureux lun de lautre et avaient couchés ensemble cette année-là, les dates correspondaient. Maman essaya de cacher sa grossesse, tant bien que mal mais à partir du sixième mois, sa mère sen étant aperçue, elle fut dans lobligation davouer sa faute à son père qui naccepta pas cet affront. Ne désirant plus la voir sous son toit, ses grands-parents qui vivaient à Guerville aux Bois, à plus de cinquante kilomètres, accueillirent ma mère et leur petite fille.
Colette était la plus heureuse des femmes, elle pensait revoir son chéri Jean-Paul et lui avouer quil était papa dune petite fille nommée Josiane. Malheureusement, ceci ne sétait pas passé comme elle lavait espéré, celui-ci étant un bagarreur, son père craignant quil aille en prison, lavait envoyé faire son service militaire dans les îles et ne le revit plus. Un an après ma naissance, ma mère trouva un travail comme servante chez le docteur André M résidant à Beauville sur Drèze dans le village voisin.
À lépoque, maman se retrouvant fille-mère, nayant aucun diplôme, était toute heureuse davoir un emploi chez ce médecin divorcé de 45 ans, ayant à sa charge son fils Jean-Charles, de lâge de Colette. Nous logions dans les combles de leur grande demeure, je fus donc élevée par le docteur qui nhésita pas à prendre soin de moi. Sil était gentil et très affectueux, il pouvait se montrer très sévère et me mettait des fessées lorsque je faisais des âneries ou que je ne nécoutais pas ma mère.
Toute petite, je navais jamais remarqué que maman ne faisait pas que le ménage ou les repas, je sus plus tard par les cancans du village que Colette était lépouse cachée du docteur M. Mais pas que, car si Colette peu de temps après son arrivée, avait cédé volontiers aux avances du médecin, elle avait également dépucelé son fils. Ce fut vers dix ans que je compris que Jean-Charles passait une bonne partie de ses nuits dans le lit de ma mère. Un soir, javais mal au ventre et narrivant pas à dormir, jétais allée dans la chambre de Colette. En ouvrant la porte, je découvris ma mère toute nue à califourchon sur le sexe érigé du fils du docteur.
Quelques temps plus tard, Jean- Charles devint médecin également, il quitta la maison mais partagea le cabinet médical avec son père. Sil sétait marié, cela ne lempêchait pas de venir baiser ma mère lorsquAndré était en visite. Lorsquil venait, je sortais de ma chambre pour aller les observer. Ce que je ne savais pas, cétait que Colette se cachait la nuit pour rejoindre André dans sa chambre. Ce ne fut que quelques années plus tard que je sus que le médecin se tapait ma mère également, les rumeurs étaient bel et bien fondées.
Un dimanche après la messe, alors que je me trouvais à la cuisine, je vis André en rentrant à la maison, caresser les fesses de mère sous sa robe en lui demandant de lui servir lapéritif. Maman ne semblait pas surprise, elle navait esquissé aucun geste, elle tourna son visage vers lui avec un grand sourire et sexécuta.
André quant à lui, le pantalon sur ses chevilles, se trouvait debout derrière elle et sactivait en donnant de grands coups de reins, tout en râlant fortement. Ma mère gémissait encore lorsque le docteur ayant éjaculé, retira sa belle verge encore dressée. Je navais que seize ans mais je savais ce quil venait de se passer. Néanmoins, cétait la première fois que je voyais le sexe en érection dun homme en vrai, sa queue était tendue et toute luisante. Je vis Colette se retourner et venir lui lécher puis lengloutir entièrement dans sa bouche.
Jétais très excitée mais très jalouse de ma mère, jaurais aimé être à sa place. Je navais jamais considéré André comme mon père mais nous étions proches tous les deux. Jétais alors remontée à toute vitesse dans ma chambre et je métais masturbée comme une folle avec toutes ces images encore gravées dans ma mémoire. Depuis, jespionnais chaque instant afin de pouvoir les revoir faire lamour, tout en rêvant du jour où ce serait mon tour, je ne sais pas si jétais amoureuse du docteur mais javais hâte de coucher avec lui.
Ma mère semblait prendre beaucoup de plaisirs, autant avec le père quavec le fils. Pendant deux ans, je la vis faire toutes ces choses avec ses deux hommes, de la fellation jusquà la sodomie, en passant par les 69 ou cunnilingus. Jétais impatiente de pouvoir faire comme ma mère, je la jalousais car même si javais déjà embrassé quelques garçons avec la langue, cela nallait jamais plus loin quune caresse délicate de ma poitrine au-dessus de mon corsage et une seule fois javais posé ma main sur le sexe dun garçon à travers le pantalon.
Monsieur André était bien trop vieux jeu et trop sévère, il ne me laissait pas sortir.
Ne vous en faites pas Docteur, elle naura quà réchauffer les plats, tout est déjà prêt. Elle sera aux petits soins. Dit Colette
Je nétais pas dupe, je me doutais bien quils allaient baiser toute laprès-midi, cependant, jétais très heureuse de me retrouver enfin seule avec André. Cétait la première fois, je ne savais pas comment cela allait se passer, allait-il lancer les hostilités en me considérant comme une femme ? jen doutais fortement, cela ne tiendrait quà moi, je lui sauterais au cou pour le galocher puis je lui sortirais la queue de son pantalon pour la sucer. Je savais faire, je métais suffisamment entrainée à le faire avec toutes les bananes que jingurgitais.
Ce dimanche en fin de matinée, lorsque nous étions revenus de léglise, Monsieur André sassis sur le fauteuil en attendant que je réchauffe les plats. Je métais approchée près de lui, pensant quil allait passer sa main sur mes fesses puis je demandai au docteur sil désirait que je lui serve lapéritif. Ce ne fut pas le cas, cependant, il me sourit en me disant : « Je veux bien Josiane, tu es un ange. » Ce fut un réel exploit, il était tellement avare de compliment que jen étais restée bouche bée mais très heureuse de cette flatterie. Pourtant je nattendais quune chose, cétait quil soit bien plus tactile avec moi. Devrais-je faire des avances ? Pensais-je.
Je me doutais bien que je nétais plus pucelle avec le nombre de fois que je métais enfilé une carotte ou une banane dans le vagin lors de mes nombreuses masturbations.
Me voyant me trémousser autour de lui, le docteur avait compris que quelque chose me tracassait et me demanda : « Quy a-t-il Josiane ? As-tu quelque chose à me dire ? Viens là ma puce. » Poursuivit-il en me tirant vers lui. Je me retrouvai assise sur ses genoux comme lorsque javais dix ans : « Alors dit-moi ce que tu as. On dirait que tu es amoureuse, peut-on savoir qui cest ? » redemanda-il en me caressant ma chevelure :
Ce nest pas ça Monsieur André, je minquiète pour vous. Pourquoi vous ne vous êtes jamais remarié ?
Une de ses mains me caressait toujours mes cheveux mais lautre sétait posé sur le haut de ma cuisse au-dessus de ma robe. Après un petit silence, il me répondit que sa femme lavait très déçue en couchant avec le pharmacien du village et quil navait plus envie de revivre cela : « Et jai ta mère, elle soccupe très bien de moi en entretenant la maison et en faisant mes repas. Je nai besoin de rien dautre. » Javais très envie daller plus loin en lui demandant comment il voyait sa vie sexuelle mais cela me semblait un peu déplacé.
Comme il me vit perplexe, il continua sur sa lancée : « je vois quil ny a pas que cela, tu as lâge de comprendre maintenant, tu te demandes si entre ta mère et moi, il y a autre chose ? » André était intelligent, il avait lu dans mes pensées mais ne savait pas que jétais au courant de leur liaison depuis longtemps : « Oui Josiane ! Colette et moi nous nous donnons du plaisir mais cela nest pas de lamour, ce nest uniquement hygiénique. » À cet instant, je devais me lancer et en profitai pour rétorquer :
Elle va certainement vous manquer cet après-midi, vous faites ça souvent les dimanches, je vous ai déjà surpris.
Le docteur était très gêné, il piqua un fard, il était devenu rouge comme une tomate. Après quelques secondes de silence, se sentant pris au piège, il essaya de me faire comprendre de me lever en disant : « Allons manger, le déjeuner doit être chaud. » Le voyant inactif et surpris, je compris que si je ne faisais rien, il ne passerait pas à loffensive. Je pris sa main et la passa sous ma robe en lui disant : « Si vous le désirez, je peux remplacer ma mère. » Avant toute tentative de recul de sa part, Je le pris immédiatement par le cou et approchai mes lèvres des siennes afin de lembrasser. Il était alors dans mes griffes, il répondit à mon baiser.
Il membrassait fougueusement, sa main entre mes cuisses, ses doigts glissaient sous ma petite culotte. Je mouillais déjà, excitée comme jamais. Lorsquil sen était aperçu, pris par le remord, il me demanda de me lever : « Non Josiane, tu es comme ma fille, je ne peux pas. »
Je ne vous plais pas ? Je désire que vous poursuiviez mon éducation mais sexuelle, cette fois.
Tu es une femme maintenant et très jolie de surcroit mais
Jétais à présent à califourchon sur lui, je frottais énergiquement mon pubis contre son sexe que je sentais dur comme du bois. Le docteur pris de frénésie, ne pouvait plus reculer, ses pulsions lempêchaient de se rendre compte quil allait baiser la jeune pucelle quil avait élevée pendant 18 ans. Il maida à défaire son pantalon et son slip kangourou lorsque je métais glissée à genoux entre ses jambes. Ma position était sans équivoque, assez gêné, il voulut se rassurer : « Tu veux vraiment me faire ça ? »
Oui Monsieur André, je vais essayer de faire comme ma mère.
André assis au bord du fauteuil, penché en arrière sa tête reposant sur le dossier, exhibait fièrement son beau sexe érigé devant mon visage. Javais enfin à quelques centimètres de mes yeux, une queue bandante à ma disposition, jen avait tellement rêvé que jétais très excitée. Cependant jappréhendais, je ne savais pas par où commencer. Jadmirais ce beau phallus décalotté, je le touchais du bout des doigts car javais peur de lui faire mal. Enfin, je le pris délicatement à pleine main puis je déposai un baiser sur le gland.
Le petit gémissement quAndré poussa mindiqua que jétais sur la bonne voie, je déposai mes lèvres sur le bout de sa queue et je passai ma langue tout autour avant denfoncé ce gland dans ma bouche en le suçant. Le docteur semblant très apprécier, je ressortais son engin et recommençais. Pendant plus de cinq minutes, je mactivais de la même manière, je léchais, embrassais et suçais le bout de sa queue. Si je prenais gout à le faire, André était au bord de lextase, sa respiration saccélérait, ses gémissements étaient rapides et puissants.
Javais déjà vu ma mère, je savais que bientôt, le docteur allait menvoyer le fruit de son excitation. Je déposai mes lèvres sur le gland dans un baiser plein de tendresse, léchai pendant quelques secondes le bout du gland puis lavalai en glissant mes lèvres avant de les faire coulisser, pendant que ma main montait et descendait le long de sa hampe dure et veinée. Il posa ses mains sur mon crâne, il ne râlait plus mais rugissait.
Ce fut à cet instant que je ressentis une douce chaleur envahir ma bouche, son sperme marrosait le palais. Ayant déjà vu ma mère le faire, je ne men inquiétais pas, cela nétait pas du poison. Si la première giclée expédiée par surprise séchappa de mes lèvres, je fermai ma bouche pour conserver le reste de son éjaculation. Quelle drôle de substance, je trouvais cela poisseux, collant dans mes dents et sur mon palais. Ne désirant pas tout recracher, je me forçai à avaler. En fin de compte, quoique légèrement salé, javais apprécié son gout, ce nétait pas aussi désagréable que voulait bien le dire mes copines de lycée.
André me fit me relever, me remercia pour ce délicieux instant, me fit une bise sur mes lèvres et minvita à prendre le déjeuner à la cuisine :
Je dois reprendre des forces si tu veux que lon poursuive ton éducation sexuelle, après manger.
Javais gagné la partie, le docteur voulait que je devienne sa maitresse, jétais aux anges et je comptais bien ne pas le décevoir. Une salope était née, je navais reculé devant rien, je venais de forcer le médecin à céder à mes caprices. Mais comment aurait-il pu me refuser ça, aucun homme normalement constitué aurait refusé une telle fellation, avec à lappui une éjaculation buccale.
Après le déjeuner, André comme tous les dimanches, fit la sieste sur son fauteuil. Après la vaisselle, je métais assise à ses pieds, placée entre ses jambes. Jattendais quune chose, quil se réveille, jétais impatiente de connaitre la suite, en espérant quil ne se fourvoie pas. Ce ne fut pas le cas, après avoir bu son café que je métais empressée de lui servir, il avait tenu à me dévêtir personnellement, tout en me faisant des compliments sur mon corps. À lentendre, il était amoureux de ma belle et forte poitrine quil ne cessait dembrasser.
Il mallongea sur le canapé, plongea sa bouche entre mes seins et sa main vint fouiller mon entrejambe. Ses caresses me rendaient folle, jétais de plus en plus excitée, je mouillais beaucoup. Lorsque sa bouche se posa sur ma chatte et que ses doigts y pénétrèrent, je jouis immédiatement une première fois en laissant échapper une bonne quantité de cyprine. Tout cela lavait amusé, il navait pas cessé de me faire jouir, sa bouche suçait mon clitoris et de ses deux doigts fichés en moi, il les activait vivement afin que jexpulse mes jouissances.
Pendant plus dune heure, je ne peux pas dire combien dorgasmes, il mavait fait prendre. Javais hâte quil me prenne et lorsque je le vis retirer son pantalon, je compris que le moment était venu. Malheureusement pour moi, lorsquil me demanda à quand remontait mes dernières règles, il mannonça quil ne pouvait pas me satisfaire aujourdhui mais quil me prescrirait la pilule. En attendant, après mavoir une nouvelle fois fait jouir en frottant son pénis sur mon clito, il le positionna entre mes seins et éjacula puissamment :
Tu sais Josiane, il y a un autre moyen de contraception, je vais ty préparer.
En fait, il voulait parler de la sodomie, à la cuisine où nous avions pris le gouter, il choisit une carotte quil me fit éplucher et laver et nous étions retournés au salon. Là encore, javais pris beaucoup de plaisir, je navais jamais cru que cela puisse être possible de jouir autant. Puis vint la possession de mon petit cul, progressivement, de sa bouche, de son doigt puis de la carotte bien effilée, il entreprit de me dépuceler par derrière. Je fus surprise que cela rentre aussi bien, il faut dire que mes sécrétions, sa salive et lhumidité du légume avaient facilité la pénétration. Pendant quil la faisait rentrer et sortir de mon rectum, il me caressait afin que je jouisse encore une nouvelle fois.
Je navais jamais pu imaginer que cela puisse être aussi puissant, malheureusement, vers 18 heures le docteur fut dérangé pour une urgence. Avant de partir, il me dit : « Ne ninquiète pas ma petite Josiane, cette nuit tu partageras mon lit, je nen ai pas fini avec ton éducation sexuelle. » Il me fit la bise et quitta la demeure. En effet, après le repas du soir que javais réchauffé, nous navions pas regardé la télé et pour la première fois, javais dans mes entrailles le phallus du docteur qui minonda le rectum pour mon plus grand bonheur.
La suite de lhistoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Josiane, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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